X-men-Submission
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C'est bientôt le moment de se soulever. Nous sommes restés dans l'ombre trop longtemps. L'avenir, c'est les humains... ou les mutants ?
 
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 >> Lena Drovski - Lightning [Fini]

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2 participants
AuteurMessage
Lena Drovski
X-Men de Classe 8
Lena Drovski


Messages : 50
Date d'inscription : 22/04/2011
Age : 29
Localisation : Belleville, New Jersey.

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MessageSujet: >> Lena Drovski - Lightning [Fini]   >> Lena Drovski - Lightning [Fini] Icon_minitimeMar 5 Juil - 21:36



Lena Drovski


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© By Unknow
▬ Nom ; Drovski.
▬ Prénom ; Lena.
▬ Date et Lieu de Naissance ; 13 décembre 1992, Moscou, Russie.
▬ Âge ; 19 ans.
▬ Groupe Sanguin ; O +.
▬ Camp ; X-Men.
▬ Profession ; Mécanicienne.

Physionomie :
♦ Vous voulez donc que je me décrive physiquement alors que cette présentation contient deux petits icônes de moi ? Cependant, si vous insistez. Je ne me trouve pas sublime ni laide non plus. Je suis dans le juste milieu où beaucoup de filles peinent à y rester pour la simple et bonne raison qu'elles ne cessent de répéter "Je suis horrible !" ou encore "T'as vu comme je suis bonne ?". J'évite de me poser trop de questions sur mon corps, aux risques de vouloir faire un régime ou encore, de m'engrosser par déprime. Je ne peux tout de même pas cacher qu'un compliment sur mon physique me flatte énormément, comme pour chacun d'entre nous. Je vais donc passer à autre chose avant de faire du hors-sujet et de me lancer dans un débat avec moi-même sur ma physionomie. La partie que je préfère, ce sont bien mes yeux. Je n'ai jamais vraiment réussi à en discerner la couleur. Elle n'est jamais stable et je trouve cela assez effrayant. La plupart du temps, ils deviennent vert, vert pâle lorsque le soleil pointe enfin le bout de son nez pour la saison estivale. L'hiver, et même à ma naissance, les deux globes occulaires qui m'aident à voir, passent au bleu, légèrement grisé. C'est tellement impressionant ce changement de couleur que j'en suis presque à me demander si je suis bien la fille de mon père et de ma mère qui, eux, ont pourtant les yeux d'un bleu jean. Ça y est, je parle de mes parents. Je vais donc prendre l'initiative de revenir sur moi. Ce que je ne fais pas souvent. J'entends souvent des personnes de mon entourage me dire que j'ai un visage de bébé, avec des petites rondeurs au niveau des joues et du menton et avec ses petites rides d'enfant qui apparaissent quand je souris. Il paraît que j'ai encore les marques de ces petites rides adorables à force de sourire pour tout et n'importe quoi. C'est vrai que j'ai du mal à garder mon sérieux et... Je me trompe de colonne, n'est ce pas ? Si je commence à mélanger la physionomie avec la psychologie, on ne va pas s'y retrouver. J'en étais donc à parler de mon sourire ? J'ai parlé de mes yeux ? Oui. Mes cheveux alors. Une tignasse épaisse et totalement indomptable. Je n'ai jamais vraiment su si elle était rousse ou châtain. En tout cas, c'est une masse de cheveux qui change constamment. Un jour, je peux me réveiller avec les cheveux lisses et le lendemain avec quelques boucles. Heureusement qu'il existe le lisseur, le sèche cheveux et tout l'artillerie de coiffeuse. Ma chevelure atteint mes épaules, les effleure de quelques mèches même. Elle ne descend pas plus bas sinon je sortirai les ciseaux. Justement, je me suis fais faire une frange pour retrouver la vue. On appelle ça une "frange droite", je crois ? Je vais toujours attention à quelle ne me tombe pas sur les yeux, c'est assez gênant pour le travail que je fais.

♦ En parlant de ce que je fais, ça ne m'a pas donné un corps de fillette. Je n'ai pas non plus une carrure de body-buildeuse mais je sais que je n'ai pas de la graisse qui pendouille quand je secoue le bras ou les fesses qui tombent. Je suis assez crue dans mes paroles, vous ne trouvez pas ? Il faudra pourtant s'y habituer. J'ai des bras normals, pas remplis de bosses couvertes de veines ! Seulement, on aperçoit tout de même, quelques formes montrant que je ne suis pas aussi faible qu'une mouche. Franchement, mon corps n'est pas, encore, un complexe pour moi. Je me sens bien dans ma peau, surtout avec ma poitrine. C'est une autre partie de mon corps que j'aime bien. Ce n'est pas la même que toute ces filles de mon âge qui veulent avoir des poitrines de stars à l'aide des implants. Ma poitrine est naturellement, bien. Elle ne tombe pas comme celle des femmes de 30 ans, elle n'est pas énorme comme celle de Pamela Anderson, et il n'y a pas un énorme écart entre les deux comme ma mère. Je suis méchante, je sais. En taille ? Je ne sais pas vraiment... 95 C, je pense. Ça dépend des magasins, bien sûr. Je pense que pour mon corps, j'en ai assez dit ? Ah ! J'ai la peau très très pâle à la base, mais j'ai su reprendre quelques couleurs suite à mon arrivée en Amérique. Tant mieux ! Je n'aurai pas eu l'air maline, à l'école, blanche comme la neige alors que les trois quarts des élèves du bâtiment scolaire viennent des littoraux américains. Je dois mesurer, approximativement, un mètre soixante six et peser cinquante sept kilos. Je vais m'arrêter là. Avant, tout de même, un petit détail croustillant pour tout les hommes qui lisent ma présentation: J'ai un tatouage. Devinez ce que c'est et où il est !

♦ Mes tenues vestimentaires varient, comme pour tout le monde, selon le temps, l'humeur et et ce qu'on compte faire et qui on compte voir. Je peux tout de même décrire en quelques lignes ce que je préfère et mes tenues favorites ? Commençons par ma tenue de travail. Au garage, je m'habille un peu n'importe comment. Principalement des vêtements courts comme des shorts, des débardeurs. Je ne me sens pas à l'aise, sinon. C'est dur de travailler avec des vêtements qui nous enrobent tout le corps ! Par contre, je ne porte pas de jupes ou de robes. Sauf pour certaines occasions, des soirées bien habillées. Je déteste savoir qu'entre mes deux jambes, il n'y a aucun autre morceau de tissu que celui de ma culotte. C'est désagréable ! Puis, je dis non à ces pervers qui aiment bien voir les femmes passer sur une zone de ventilation et jouer à Marylin Monroe. Bref, je n'aime pas ça mais je me force à en porter pour avoir un minimum de classe lorsque je suis invitée chez des gens qui n'ont pas le porte monnaie à moitié vide. En dehors du travail, je m'habille vachement détendue: jean, chemise, converses, ballerines, talons,... J'aime un peu toute les fringues, toutes les couleurs aussi. Je ne m'embête pas à passer trois heures dans un magasin pour un seul vêtement. Mais bien sûr, j'ai des préférences: le vert pomme, le orange, le violet... Des couleurs vives. Je crois que je n'ai rien à ajouter sur mes goûts vestimentaires ? Non. Quelques accessoires de temps en temps, pour ajouter une petite touche avec les vêtements. Il y a un seul bijoux que je garde constamment avec moi, c'est... Vous savez les pendentifs qu'on peut coupé en deux et donner un morceau à quelqu'un ? Là, c'est pareil. C'est une pièce de puzzle. C'est mon frère qui à l'autre morceau.

Caractère :
♣ Mon caractère... Alors là, je vais en rédiger des lignes. Pour vous parler de moi, je vais devoir faire certaines comparaisons avec mon frère jumeau, Flav. On est totalement opposés, ce qui fait qu'on se complète. Par quoi pourrais-je commencer ? Lunatique ? Non, pas du tout. Mon frère, si. Envers moi surtout. Il peut être très distant comme il peut me dorloter comme un chat. J'ai toujours était stable au niveau de mes humeurs. Je ne prend jamais rien à la légère, j'évite de perdre le contrôle pour un rien. Il m'est facile de sourire pour n'importe quoi. Je déteste pleurer pour une raison totalement futile, inutile et que je ne comprend pas. Toute façon, je n'ai du pleurer que deux fois dans ma vie: le jour de ma naissance, et le jour où mon frère s'est battu. Je tiens énormément à mon jumeau. C'est... comment dire... Une partie de moi qui m'est vital. Sans lui, il m'est difficile de respirer. Je pense que c'est la seule personne pour qui je serai prête à donner ma vie. Je ne suis pas stupide au point de donner corps et âme à la mort pour un innocent dans une rue. Rien ne m'oblige à le sauver comme rien ne m'oblige à tuer son agresseur. Je crois que je viens de dire deux fois la même chose. Peut importe. Continuons. Je suis de nature calme, posée. Je ne prend pas souvent la tête. Je réfléchis, ensuite j'agis. Je connais quelques crétins qui agissent, réfléchissent et ensuite agissent de nouveau. C'est assez douloureux pour la petite copine qui se fait plaquer, souffre pendant une semaine et ensuite, celui qui l'a jeté dans les Enfers, vient la repêcher. Ce ne m'est encore jamais arrivé, je tiens à le préciser. Les garçons et moi, cela fait deux. Ils n'ont jamais été vraiment une grande source d'attirance pour moi. Aucun d'entre eux n'a su allumer une étincelle au fin fond de mon coeur gelé. Je ne veux pas dire que j'ai un coeur de pierre, juste que je ne suis encore jamais tombée amoureuse. C'est quoi ces têtes surprises ? Oui, j'ai 19 ans et je n'ai jamais connu le premier amour. Je suis encore vierge et mes lèvres sont encore pures. Cela dérange quelqu'un ? Disons que, je suis de ces filles qui attendent le bon, leur prince charmant, celui qui sera capable de leur faire connaître le bonheur et la vraie signification du verbe "aimer". Voilà ce que j'attend, et je ne l'ai pas encore trouvé. Le seul homme de ma vie... Non, les deux seuls hommes de ma vie sont mon père et mon frère. Que dire d'autre sur mon mental ? Calme, posée, toujours le sourire aux lèvres... Mes goûts, peut être ? J'ai horreur des poils ! Mon dieu, s'en est devenu presque une phobie. Je ne supporte pas d'en avoir. Je vais chez l'esthéticienne environ... Hm... Deux fois par mois. C'est cher, je sais, mais si après je peux être zen pendant quelques semaines, ça me va. Je me rends compte que j'ai mis un petit trèfle pour illustrer le paragraphe que je rédige... Mais ça ne va servir strictement à rien vu que je ne vois pas l'utilité de faire un second paragraphe. Je devrais éviter de dévier à chaque fois. Je déteste les araignées. Elle me rendent presque hystériques avec leurs huit pattes velues et leurs deux paires de yeux qui vous observent. Juste à en parler, j'en ai des frissons dans le dos. Je déteste... Rien d'autre, je crois. La plupart j'aime tout et je déteste rien. Pour ce que j'aime, il y a énormément de chose: le chocolat, la ville, la campagne, le calme, la musique, manger, dormir, faire la fête, etc... Mais ma plus grande passion, c'est bien les courses de voitures... illégales. Oui, celles qu'on voit dans "Fast and Furious". Je pratique. Etonnant pour une femme, vous dîtes ? Venez donc m'affrontez, que je rigole un peu.



Mon passé, mon présent & mon futur




Il faut donc que je vous compte mon histoire ? En passant par mon enfance, mes bêtises dont je suis le plus fière et tout le reste ? Je vais tenter d'être assez précise sur certains faits, au mieux que ma mémoire de poisson peut m'aider... Avant de commencer mon histoire, il faut que je vous compte rapidement celle de mon père, de ma mère et de mon frère. Je pense que ma vie deviendra plus simple à comprendre comme ça.

Présentation de la famille


♠ Oliver Drovski. Né en Russie d'une mère anglaise et d'un père russe. Il fut engagé, alors qu'il n'avait que 20 ans, comme tueur à gages, éliminant des ennemis importants au gouvernement. Sa couverture ? Identité fausse: Joe Smith. Il n'a encore jamais été pris et il a arrêté tout ceci depuis longtemps, pour se consacrer à sa famille. Il a rencontré ma mère grâce au gouvernement, à l'âge de 32 ans. Il travaille dorénavant en tant que garagiste, en Amérique. Il l'était aussi en Russie, mais ma mère a fait que tout a une fin. Au moment où je vous compte toute cette présentation, il doit être en train de fumer son cigare, sur le porche de sa maison de retraite. Il a la vie cool mon père. Ah ! J'ai oublié de préciser que mon père est un mutant. Son pouvoir ? La fumée. "The Smoker"...

♠ Anna Drovski. Née en Russie, sang pure. Comment expliquer ? Dès son plus jeune âge, ma mère est durement élevée. Les jeux, les amis, etc... Il ne fallait même pas qu'elle y pense. Elle devait tellement aimé ça qu'elle y a appliqué sur nous. C'est devenue une sorte d'Hitler au féminin ? Disons ça comme ça. Elle est devenue minsitre de la défense après de longue études de droit et une détermination que mon frère et moi avons dans des situations bien spéciales. Elle a aussi une haine énorme contre les mutants... Vous devez vous dire "Comment vous avez fait alors ?". On a appris à cacher notre pouvoir. Elle ne l'a jamais su et je ne pense pas qu'elle le sait maintenant. Tellement sa colère contre les gens de notre espèce, était puissante, elle a adhérer à l'A.A.M.. Elle est devenue la directrice du centre Anti-Mutants, qui se situe à Moscou... C'est là qu'est mon frère. Non, sa véritable identité n'a pas été découverte et heureusement. Il est là juste parce que ma mère veut l'avoir à l'oeil.

♠ Flavien Drovski, aussi appelé Flav. Mon frère... Il est né en même temps que moi, des mêmes parents, bien sûr. Comme j'ai pu l'écrire plus haut, mon frère et moi sommes totalement opposés physiquement et mentalement. Il a stoppé ses études assez tôt, a travaillé quelques temps avec mon père avant de jouer les fantômes. Il s'est mis au deal... Pas longtemps, mais il a tout de même risquer quelques mois de sa vie. Par la suite, il s'est lancé dans la course de voiture. Il est drôlement doué pour ça, contrairement à faire ses devoirs. C'est mon frère et je l'aime plus que tout. Lui aussi est un mutant, pyrokinésiste pour être plus précise. En ce moment même où je vous parle, il est enfermé dans une cellule, en Russie, sous la direction de ma mère. Pourquoi ? Vous le saurez plus bas.

Les dix premières années de mon existence.


♠ Je suis née, il y a de cela, 19 ans, soit le 13 décembre 1991. Ma ville d'origine se situe dans l'une des plus anciennes puissances mondiales, soit dit la Russie qu'on appelle encore U.R.S.S. de nos jours. Pays froid, mais en même temps chaleureux avec sa vodka et ses tenues à poils de gibier. C'est là bas que j'ai grandi pendant dix ans... Dix ans que j'aimerai rapidement oublié. Je vais vous les compter... Rapidement, car je n'aime pas revenir sur ce passé là. Puis, disons que je ne suis pas apte à me souvenir d'absolument tout. Reprenons. Les premières années me sont, floues.
Avec Flav', nous avons grandi dans une grande demeure, loin de tout. Ma mère tenait énormément au fait que nous soyons éduqué loin de la civilisation, de ses moeurs et son côté sombre. Notre mère est une vraie mère-tigre, ce genre de mère qui ne vous élève qu'aux cours solaire et aux jeux éducatifs. Je ne m'en souviens pas très bien, mon frère non plus. Cela est devenu notre quotidien, donc ça ne nous a pas vraiment marqué. En tout cas, nous avons eu le droit à une éducation très stricte, sévère et bien encadrée. Nous n'avions pas d'amis, ni de famille. Enfin, nous avions nos parents mais il était dur de concevoir que c'était une vie de famille. Mon père et ma mère dormaient séparément, d'après mes souvenirs. Mon frère et moi aussi, mais la nuit, l'un de nous fuguait pour aller dans la chambre de l'autre. Il nous ait dur de ne pas rester séparer plus d'une heure. Alors imaginez, un an et demi... Ne restons pas la-dessus. Que dire de plus ? Nous suivions des cours par correspondance, des cours très avancés qui ne correspondait pas à un niveau de notre âge. C'était tellement compliqué... La vie à la maison était tout autant complexe. Mon père est du genre "cool", détendu et qui n'aime pas se prendre la tête. Sa vision du monde équivaut à celle d'un junkie. Contrairement à ma mère qui est basée sur une stratégie militaire. Je crois que son métier lui est monté à la tête. En tout cas, il était dur d'avoir une vie stable. Ma mère n'était pas souvent là, donc nous vivions principalement avec notre père qui consacrait tout son temps libre avec nous. C'est comme ça que nous sommes tombés dans la mécanique. Un peu comme Obélix dans la potion magique. Il nous emmenait constamment au garage, nous montrant un peu à quoi pouvait servir certaines choses, les dangers et la sécurité dans ce genre de travail. On adorait ça. On adore notre père, tout simplement. C'est pour cela qu'on a choisi d'aller vivre avec lui. Je me souviens encore de leur engueulade comme si c'était hier. Ça mérite que j'en fasse un nouveau paragraphe.

♠ C'était le soir de nos 10 ans. Mon père avait organisé quelque chose de malade, de grandiose. Il y en avait plein la maison: des confettis, des ballons, de la musique, des serpentins, etc... Cependant, on était que quatre, à cause de ma mère. Avoir des amis étaient un comble pour elle. Elle n'était même pas présente. Je ne vous raconte pas la rage de mon père. Avec Flavien, nous étions tranquillement installés à table, nos jambes encore trop courtes pour toucher le sol, se baladant d'avant en arrière. Tout deux avions des chapeaux en cartons sur la tête, avec un petit pompom au bout. Nos visage étaient barbouillés de maquillage pour enfant, faisant de Flav' un lion et de moi, un chat. Mignons ? On peut dire ça comme ça. Notre père tentait désésperemment d'animer la "fête", sans succés. Nous étions cloîtrés sur nos chaises, pas près de bouger. Dîtes vous que tous nos anniversaires étaient comme ça. Seulement, le dixième fut la goutte de trop pour notre père. Dès que ma mère posa son pied sur le seuil de la porte, nous nous levâmes, l'oreille tendu, près à entendre encore ses plaintes incessantes sur la difficulté son travail et sur les cas pitoyables dont elle s'occupe. C'est tellement horrible d'avoir une mère égoîste qui ne se soucie pas de sa vie de famille, et ne vit que pour son travail et sa propre personne. Son long soupire de fatigue nous parvint. Avant même que nous aillons regagné nos place, mon père se dirigea sur ma mère et l'emmena gentillement dans une pièce, fermant la porte. Il avait beau faire ça, les hurlements et cris de ma mère nous atteignirent. Elle jouait tellement mal la comédie. Comme si nous comptions accourir à sa recousse alors qu'elle nous a laissé pourir le jour de notre anniversaire. On avait la rage, tellement la rage que nous savions directement que ses appels au secour n'étaient que du faux. Tout ça pour qu'on est pitié d'elle... Je peux vaguement vous reconstituer la conversation:
- Pourquoi n'étais tu pas là, de nouveau ? Est ce que tu penses une seule seconde aux enfants, à leur bonheur au lieu de penser à toi ?
- Mais comme oses tu ? Comme oses tu penser que je ne pense pas à notre famille. Je ne fais que ça !
- Alors montre leur. Montre leur que tu as un minimum de sentiments pour eux, pour tes enfants.
- Je leur montre déjà assez. Leur jouet, les cours par correspondance. Tu crois que je travaille que pour moi ? C'est grâce à qui que l'on vit ?
- Ne change pas de sujet. On parle de Lena et de Flavien ! Pas de nos revenus.
- C'est pareil. Nous ne serions pas une famille comme celle la sans le travail.
- On ne construit pas une famille avec des liasses de billets. Si tu penses apporter le bonheur de tes enfants en ne faisant qu'acheter, tu te trompes. Et cette famille, en ce moment, elle meurt, tout ça par ta faute car tu ne sais pas ce que c'est d'être une mère. J'en ai marre de cette situation, je m'en vais. Tu te rendras sûrement compte que tes enfants ont besoin de toi.

Sur ces mots, il sortit de la salle. Flavien et moi étions devant, se tenant la main, assez bouleversés parce qu'on venait d'entendre. La réponse de notre père fut un simple sourire. Lorsqu'il monta faire ses affaires, nous le suivîmes. Je laissais mon frère s'occuper des bagages. Je n'étais pas vraiment en état de partir. Mon frère s'en foutait. Il n'a jamais vraiment aimé notre mère. J'entendis alors ma mère grimper les marches d'un pas précipité. Elle me poussa, me plaquant contre le mur. Flav' n'eut pas le temps de se baisser. Elle se rua sur lui mais il l'esquiva de justesse, l'assomant avec sa batte de baseball. C'est à ce moment que tout accélera. Mon père nous aida pour les valises et se dépêcha de nous emmener à l'aéroport. Le trajet se passa dans la méfiance, la prudence et avec soin. Notre mère, étant ministre de la Défense, aurait pu prévenir de notre disparition, faisant passer notre père pour un criminel et ses enfants, les victimes.

♠ Reparler de ce moment m'a rappelé quelques vagues souvenirs... Comme le fait que nos pouvoir venaient d'apparaître. Oui, je compte faire un paragraphe à chaque chapitre pour parler de nos pouvoir pendant la période étudiée. Mais passons. Nos pouvoirs sont apparus vers nos cinq ans. A cette époque, on mettait encore nos doigts dans les prises pour voir ce que ça faisait. C'est ce que j'ai fais et au lieu de mourir éléctrocuter, j'ai explosé de rire. Etrange ? Heureusement que ma mère n'a rien vu. C'est mon père qui a realisé l'ampleur du problème. Au même moment, Flavien a mis sa main dans le feu de la cheminée. Je ne vous dis pas la tête de mon père. On a vraiment cru qu'on allait se faire engueuler. Au lieu de ça, il nous a expliqué qu'il ne fallait pas montrer ça à maman car maman connaissait des gens qui nous feraient du mal en sachant que nous avions ça. Il nous a tellement effrayé que ça a marché. Quand notre mère avait le dos tourné, il nous emmenait dans le jardin, prenant avec lui des bouteilles vides, des morceaux de cartons, des déchets ou des objets inutiles. Il les installait sur la barrière et nous entraînait de cette manière. En cinq ans, nous contrôlions parfaitement notre pouvoir, et nous sachions pratiquement le cacher. Plus d'une fois, nous avons mis en péril notre identité. C'est aussi pendant cette période que nous avons appris que notre père était comme nous. Il se transformait en fumée ! C'était impressionant. Nous aussi arrivons à s'unir avec notre élément...

De mes dix ans à aujourd'hui...


♠ Notre arrivée en Amérique fut un grand changement pour nous. Avant même de pouvoir se poser, nous avons pratiquement fait le tour du pays, cherchant une région dans laquelle nous serions en sécurité: New Jersey, Belleville. Une grande ville, je sais. Ce qui m'a le plus marqué, c'est son parc d'attraction énorme et où je mettais les pieds à chaque fin de semaine. Nous avons emménagé dans un quartier calme, sympathique où personne ne se souciait du passé de son voisin. Nous avons enfin pu avoir des amis ! C'est tellement intense ce sentiment que l'on ressent lorsqu'un autre enfant s'approche de vous et vous demande si vous pouvez jouer avec lui. Bien sûr, ce n'était que de simples amis de jeunesse. Au fur et à mesure que nous grandissions, les amis changeaient, d'autres apparaissaient tandis que certains disparaissaient. La vie évolue, nous évoluons et les changements sont hallucinants. Nous ne pensions pas qu'avoir des amis étaient aussi difficile à gérer. On aurait aimé en garder certains comme nous aurions aimé en perdre d'autres. Notre entourage avait beau changer, nous, nous ne changions pas. L'atmosphère à la maison était beaucoup plus agréable, moins étouffant, moins effrayant. Nous ne craignions plus que notre mère passe le pas de la porte et nous hurle dessus en priant pour mourir à la fin de ses plaintes. Nous avons enfin pu aller à l'école. Un radical changement dans notre vie. Nous n'avions jamais posé les pieds dans un établissement scolaire et les cours par correspondance nous avaient élevé plus haut que les gens de notre âge. Heureusement, nous sommes rentrés dans une école privée. Seulement moi. On aurait cru que Flavien avait perdu son cerveau, ou qu'il l'avait oublié en Russie. Il est partit dans une école d'une banlieue un peu bizarre et à la réputation assez mauvaise. Il se mit alors à traîner avec des mecs étranges, n'ayant pas du tout de bonnes manières ni le savoir vivre. Il sortait le soir et rentrait assez tard. Cependant, cela ne changeait en rien notre relation, au contraire. J'étais tellement inquiète qu'il tentait constamment de me rassurer. On dormait pratiquement ensemble. Depuis notre départ de la Russie, nous ne nous lâchions plus, passant, la plupart du temps, pour un couple dans la rue. Puis, vint le jour où une distance s'installa entre nous. C'était assez douloureux pour moi. Pour lui, je n'en sais rien. Aller en cours, se demandant si son frère y est allé, c'est une sensation assez désagréable. Finalement, j'en suis venue à le suivre, en journée, loupant tout mes cours. Peut m'importait tant que j'avais mon frère. A force de le suivre comme un petit chien-chien à dix mètres de lui, j'ai finis par découvrir son secret. Mon frère s'était mis au deal. Je ne vous dis pas le choc que cela a eu sur moi. Je ne pouvais rien dire à mon père, bien sûre. Mais il fallait que je règle cela avec Flav' avant de le voir sombrer dans la folie de la drogue. C'est mon frère, je me voyais mal le laisser partir en live alors que je savais tout, que j'avais tout vu... Le soir même, je lui en parlai. Le fait que je l'ai suivi ne lui a pas du tout plus mais il a finit par m'écouter, et bien heureusement. Je ne voulais pas de nouveau voir ma famille diminuer d'un membre. Nous avions 15 ans à ce moment là. Par la suite, nous sommes tombés dans la même école, dans la même classe. Nous voulions suivre les mêmes études pour ne pas se perdre. Tout était bien parti, jusqu'au moment où Flavien abandonna les études, à ses dix sept ans. Ce n'était pas sur un coup de nerf, juste qu'il en avait marre et c'était trouvé une nouvelle passion: les voitures. Comme tout les garçons, il avait cette passion de la mécanique. Seulement, contrairement aux autres, il pouvait y toucher. Notre père profita de nos abscences la semaine pour refaire son petit garage dans une ruelle de Manhattan. Ingénieux et ça l'occupait en attendant une prochaine retraite. Flavien le rejoignit, l'accompagnant le soir, admirer les courses de voiture. Je les accompagnait rarement, trop préoccupée par mes études. J'avais choisi une filière pas vraiment très facile: La psychologie humaine, l'Homme sous toutes ses formes. Impressionant, n'est ce pas ? Le dîplome se faisait en trois années, j'étais à ma première. Je m'appliquais soigneusement à avoir des bonnes notes, voulant avoir mon dîplome au la main. Ce qui arriva bien sûr. Pour fêter ça, il y avait le bal de promo:


♠ Les jeunes ont cette mauvaise habitude d'organiser une fête, pour n'importe quoi. Pour le fait d'avoir eu son dîplome, c'est compréhensible. Mais il y a des personnes qui s'amusent parce qu'ils ont eu un A à leur contrôle. Après, ce n'est pas leur problème. Ce sont les parents qui payent. Passons. Le bal de promo se passer à la plage artificielle de la ville. La vue était magnifique. Le ciel dégagé, la lune nous éclairant. C'était vraiment génial. Bien sûr, alcool, drogue et sexe à foison. D'après ce que j'ai pu comprendre, c'est comme ça à toutes les fêtes auxquelles ont peut assister. Pour dire que le "bal" de promo, était ma première soirée. Pourquoi je dis encore que c'est un bal alors que c'est sur la plage ? Je n'en sais rien. A la base, cela devait se passer dans l'enceinte de l'école, mais la fille du proviseur a amadoué son papa pour qu'on puisse venir ici. Ça les arrangeait bien. Pas de parents, ni de surveillance. L'alcool n'est autorisé qu'à partir de l'âge de 21 ans, en Amérique. Vous devez maintenant comprendre le changement de programme. Bon, j'arrête de faire du hors sujet. La musique résonnait au loin, les filles se trémoussaient, les mecs se cherchaient, etc. Une fête, quoi. Un peu trop bousculée par ce genre de comportement, je suis allée me poser contre un rocher avec mon verre de coca. Ne vous moquez pas, je suis une fille raisonnable. En tout cas, je m'étais séparée du groupe et quelques mecs l'avaient remarqué. Vous savez, les mecs, une fois qu'ils ont bu un verre d'alcool illégalement et qu'il y a une fille seule qu'ils pensent pouvoir sauter, ils ne se sentent plus pisser. L'un d'entre eux m'aborda, commençant par des mots doux. Ma musique à fond dans les oreilles, je les ignorais. Ils n'ont pas aimé et leurs mots se transformèrent en geste. Me plaquant contre la rocaille, sa main serpenta sur mon corps, créeant en moi une crainte énorme. J'avais peur et je ne pouvais pas me défendre, je n'avais pas le droit. C'est alors que j'entendis la voix de mon frère. Pendant l'agression, le portable s'est allumé, appelant directement mon frère. Ce dernier avec tout entendu. J'entendais dans sa voix, sa rage, une envie de tuer. Ils savaient où nous étions, car je l'avais invité à venir. Il a préféré rester avec mon père et l'aider à monter une nouvelle voiture. Il s'en ai voulu de ne pas m'avoir accompagné... Le moteur ronronnant d'une voiture se fit entendre. La porte claqua tellement fort que les mecs me lâchèrent, prenant tout ce qu'il pouvait trouver par terre. Flavien a déboulé sur la plage, se ruant sur mon agresseur. Les autres s'écartèrent, effrayés par la violence de mon frère. Quant à moi, j'observais. Je ne faisais que ça. Je n'ai pas pris la peine de sauver cet enfoiré, malgrè ce qu'il m'a fait, il ne méritait pas de mourir de cette manière. Les mains en sang de mon frère passèrent autour de moi. Je me blottis alors contre lui. Peu de temps après, la police débarqua, appliquant leurs méthodes habituelles pour le contrôler et lui rappeler ses droits. Seulement, au lieu de rester en Amérique, il fut envoyé en Russie, sous les ordres de ma mère. Je ne vous dis pas la peur qu'on a eu avec mon père. Si ma mère apprenait que mon frère était un mutant, je passerai après lui, et ensuite mon père...

♠ Depuis ce jour, je travaille au garage, à la place de mon père qui s'est retiré dans notre maison à Belleville. Le quartier a été rasé mais mon père a réussi à sauver notre demeure. J'ai loué un studio au dessus du garage pour éviter les allers et retours incessants dans le New Jersey. Je me suis fait à l'idée que je ne reverrai sûrement jamais mon frère. Et cela dure depuis plus d'une demi-année. Je compte tout de même aller vérifier, prenant des risques. Mais cela m'importe peu. C'est mon frère, c'est Flavien, et je ferai n'importe quoi, absolument tout, pour lui venir en aide... Je crois que j'ai oublié un point important dans tout ça ? Ah oui ! Les X-Men.

♠ Avec mon frère, nous amplifions nos pouvoir lorsque le temps nous était donné. Flavien a réussi à totalement fusionner avec son élément, prenant la forme d'un loup géant. C'était impressionant. Et il pouvait tenir des heures comme ça. J'ai pu faire pareil un peu plus tard, mais j'ai réussi. Contrairement à mon frère, qui avait les flammes qui l'entouraient, tout mon organisme devenait foudre et je prenais aussi la forme d'un loup. C'était hallucinant mais nous savions que nous venions d'atteindre l'apogée de notre don. Suite au problème avec mon frère, les médias ne se sont pas détachés de nous pendant quelques semaines. Je ne sais pas comment ils ont su mais du jour au lendemain, ils sont venus toqué à ma porte. C'est le professeur... Heu... Jacquiet, non, Xavier, qui est venu se présenter, accompagné d'un homme bizarre. Il était coiffé en brosse et portait des lunettes étranges. Les premiers instants de notre conversation, le professeur me parla par télépathie pour me montrer que je n'étais pas la seule à être "différente". Je le savais déjà mais ça avait l'air de lui plaire de m'expliquer. Je l'écoutait attentivement, pourtant. Une école pour les mutants ? Intéressant, mais je pense que je ne suis plus apte à en être élève. Je vais restitué la conversation:
- Lena, tu peux nous être une alliée importante, me raconta le professeur.
- Je ne comprend pas. Je ne peux pas venir dans votre école, rétorquais-je.
- Nous te proposons une place comme professeur. J'ai vu ton niveau et tu es bien trop puissante pour être une élève, bien sûr. Par contre, tu es capable, autant que les autres enseignants, à devenir professeur.
- Professeur, vous voulez dire que cette fille est plus forte que Jean ? demanda Scott, assez intrigué.
- Elle sait maitriser son pouvoir plus qu'elle, oui. Plus que beaucoup d'entre nous. Pouvons nous savoir comment, Lena ?
- Heu... marmonnais-je. Mon père est aussi un mutant et il a su nous apprendre très tôt comment manier notre force.
- Mais ta mère ne sait pas que vous êtes mutants, ton frère, ton père et toi, n'est ce pas ? Car elle est à l'Association Anti-Mutants.
- Comment..? Ah, oui...
- C'est très impressionant ce que tu as du faire pour cacher ton pouvoir aux yeux du reste du monde.
- C'est sympa que je n'ai pas besoin de parler pour vous raconter ma vie.

Sur ces mots, je lui serra la main, acceptant de me joindre à eux. Mais j'imposai tout de même mes conditions, par principe. Il lui fut difficile d'accepter mais finit par bien appliquer ma requête:
→ Je ne vivrai pas à l'école pour la simple et bonne raison que ma mère s'occupe de l'A.A.M. en Russie et qu'elle pourrait savoir que je suis ici.
→ Mon nom ne doit pas apparaître sur les dossiers ni être cité lorsqu'on parle de l'école.
→ Je ne dois être appelé qu'en cas de grand besoin et d'extrême urgence. Voilà pourquoi je suis équipée d'un bipeur.
Voilà, c'est tout ce que j'ai du demandé. En tout cas, je n'ai du poser que deux fois les pieds dans cette école. J'ai rencontré cette fameuse Jean et Scott. J'en ai vu plein, découvrant leur don avec plaisir.

♠ J'ai fini ma présentation. Désolée d'avoir baclée tout ça mais disons que détailler ma misérable vie n'est pas de mon ressort. Puis il y a des moments intimes que je ne voudrais peut être pas dévoiler. J'espère que vous ne vous attarderez pas sur des détails inutiles et que vous lirez sans poser de questions. Sur ce, bonne lecture ;D

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MessageSujet: Re: >> Lena Drovski - Lightning [Fini]   >> Lena Drovski - Lightning [Fini] Icon_minitimeMar 26 Juil - 0:02

Up ! ♥
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MessageSujet: Re: >> Lena Drovski - Lightning [Fini]   >> Lena Drovski - Lightning [Fini] Icon_minitimeMar 26 Juil - 5:14

Bonne présentation, plaisante à lire malgré certains passages un peu long malheureusement mais qui ne reste pas mémorable, un bon potentiel , malgré quelques petites incohérences mais rien de bien grave , mais je ne sais pas quel niveau veux-tu donc ?
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MessageSujet: Re: >> Lena Drovski - Lightning [Fini]   >> Lena Drovski - Lightning [Fini] Icon_minitimeMar 26 Juil - 5:27

Niveau 9 Very Happy xD
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MessageSujet: Re: >> Lena Drovski - Lightning [Fini]   >> Lena Drovski - Lightning [Fini] Icon_minitimeMar 26 Juil - 5:39

Je ne suis pas contre te donner le niveau 9 de suite, mais je suis un peu réticente de donner des classes hautes immédiatement , j'attends l'avis d'un confrère ou d'une consoeur .
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MessageSujet: Re: >> Lena Drovski - Lightning [Fini]   >> Lena Drovski - Lightning [Fini] Icon_minitimeMar 26 Juil - 11:02

Après discussion nous avons conclu que tu avais la classe 8, donc tu es très puissante, mais tu as un point faible à toi de le choisir avec bien sûr un rapport avec ton pouvoir Wink
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MessageSujet: Re: >> Lena Drovski - Lightning [Fini]   >> Lena Drovski - Lightning [Fini] Icon_minitimeMar 26 Juil - 20:01

Je ne comprend pas ce que tu veux me dire ? Je dois choisir un point faible ? En rapport avec mon pouvoir. Ce n'est pas dans ma fiche technique ça ?
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MessageSujet: Re: >> Lena Drovski - Lightning [Fini]   >> Lena Drovski - Lightning [Fini] Icon_minitimeMar 26 Juil - 20:26

Si désolé, je pensais d'ailleurs à l'eau , mais je n'avais pas lu ta fiche technique avant

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