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C'est bientôt le moment de se soulever. Nous sommes restés dans l'ombre trop longtemps. L'avenir, c'est les humains... ou les mutants ?
 
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 The Rage of the Death of the Flesh Burned [UC]

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Mike Shmidt

Mike Shmidt


Messages : 1
Date d'inscription : 02/10/2011

The Rage of the Death of the Flesh Burned [UC] Empty
MessageSujet: The Rage of the Death of the Flesh Burned [UC]   The Rage of the Death of the Flesh Burned [UC] Icon_minitimeDim 2 Oct - 8:55



Mike Shmidt


The Rage of the Death of the Flesh Burned [UC] 862003sbsgdsf
© By inconnu
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▬ Nom ; placez ici
▬ Prénom ; Mike Shmidt
▬ Surnom ; Growl
▬ Date et Lieu de Naissance ; Berlin, Allemagne
▬ Âge ; 11/09/1982
▬ Groupe Sanguin ; O -
▬ Camp ; Mutant Indépendant
▬ Profession ; Fondateur/Chanteur/Guitariste du groupe Death of the Flesh Burned

Physionomie :
600 caractères minimum

Caractère :
600 caractères minimum



Mon passé, mon présent & mon futur



Mike Shmidt est né le onze septembre 1982 à Berlin, à l'époque partagées par la France, les Britanniques, les Soviétiques et les Américans. Sa famille vivait en RDA, du côté soviétique, et devait donc subir la dictature soviétique. Le légendaire Mur de Berlin s'élevait à moins de quatre cent mètre en face de leur modeste masure, comme un Dieu des ténèbres veillant sur l'asservissement de ses esclaves pour l'éternité. Lorsqu'il alla à l'école on lui enseigna tout ce qu'un bon soviétique doit savoir, mais heureusement son psyché, au lieu de se plier docilement, devint rapidement avide de rébellion et de changement. Il aimait le principe fondateur du communisme mais ce qu'en avait fait les hommes était tout simplement inhumain, haïssable. Ne pouvant se révolter avec les mots il se mit à la musique, exprimant ses émotions à travers son instrument. A l'âge de cinq ans il reçut sa première guitare sèche, et ainsi débuta son apprentissage. Il n'avait pas de professeur mais découvrait petit à petit les performances de son instrument, patiemment et méthodiquement. A l'âge de sept ans, ou plus exactement deux jour avant son septième anniversaire, le mur fut détruit. Assis sur son séant sur le dessus des ruines détruites du symbole, il joua pour la première fois devant un public. L'ivresse et la joie qui flottait sur ce lieu mémorable prit vie dans sa musique, la rendant porteuse d'un nouvel espoir. C'est ce jour là qu'il décida de devenir un formidable musicien, qui ferait vibrer les hommes par sa musique.

Mais parallèlement il vivait sa jeune vie, allant chaque jour travailler à l'école. Il n'était ni très musclé, ni très grand, et si timide qu'il ne pouvait que bafouiller lorsqu'on se moquait de lui. Tête de turc, il passait le plus clair de sa journée à se cacher dans un coin de la cour pour éviter d'être ennuyé. Bien sur il avait essayé de se battre mais à un contre huit, que faire ? Simplement être jeté à terre puis roué de coup. Son seul ami, ou plutôt sa seule amie, était muette. Les seuls moment où il se battait c'était pour la protéger, car les personnes différentes sont le plus souvent tyrannisées. Lorsque les autres s'en prenait à elle, faisant fi de sa peur, il venait l'aider. Bien sur la tempête passait sur lui, mais il la protégeait comme une sœur. A un si jeune âge on ne peut pas parler d'amour mais juste d'une profonde amitié, une compassion illimitée. Voilà ce qu'il ressentait.

Lorsque le mur fut détruit, sa famille s'empressa de migrer à l'Ouest de l'Allemagne, dans la petite ville de Sonne. Niché entre deux montagnes, le soleil brillait le plus clair du temps sur cette bourgade protégée des intempéries par les hauts flancs rocheux. Mais il du alors quitter son amie. Les yeux remplie des larmes de la tristesse ils se promirent de se revoir lorsqu'ils seraient grands, de se retrouver où que l'autre soit dans le monde. En signe de leur promesse ils brisèrent le collier en coquillage de la jeune fille et chacun en prit un bout qu'il accrocha autour de son cou en guise de gage. Lorsque le collier serait reformé, ils se seront retrouvés pour ne plus jamais se perdre. Un dernier au revoir, puis le train l'emmena loin d'elle. Il dormit pendant le voyage, le sommeil apaisant momentanément sa souffrance. A son réveil, il était chez lui. La chaleur l'étouffait, il se sentait oppressé, perdu. Heureusement, ou malheureusement, il se fit rapidement de nouveaux amis. Les années passèrent, il passa au collège, travaillant le matin et faisant du sport l'après midi. Le souvenir des violences qu'il avait subi dans la jeunesse le poussa à faire du karaté. Il n'était pas très fort, ayant une peur bleue de subir des coups. Très émotif, il pleurait dès que la violence du choc dépassait un seuil peu élevé, et ses "amis" se moquaient alors ouvertement de lui. Car malgré tout, il s'obstinait à croire en leur amitié alors que chaque jour était un nouveau calvaire avec eux. Toujours dénigré, toujours moqué. Ils étaient trois mais ses deux "potes" s'alliaient toujours contre lui, prônant la "démocratie" en se liguant contre lui pour le faire toujours perdre. Quoi qu'il dise, un vote démocratique qu'il ne pouvait que perdre le réduisait un néant.

Revenons à son sport. Il continua longtemps, devint plus résistant, plus musclé, moins peureux. Il n'hésitait plus à se battre et gagnait la plupart du temps face à ceux qui venaient lui chercher des crosses. Rapidement, il parvint à être reconnu comme il était, mais il y avait encore un obstacle. Il devait se débarrasser de ses "entraves", de ceux qui noircissaient sa vie. Il était accepté comme il était dans sa classe, mais eux croyaient qu'il "était hypocrite, faisait semblant", sans savoir que les seuls personnes à ne pas le connaître comme il était vraiment, c'était eux. Un jour, s'énervant après avoir encore une fois subi plus d'une heure de moquerie, il les frappa de toute sa haine. Résultat : deux allez pour l'hôpital. L'un avant l'avant du visage en sang, les dents cassées, l'œil poché, l'autre le bras cassé et plusieurs côtes fêlées. Ils ne lui adressèrent plus la parole depuis ce jour, mais il s'en moquait. Lorsqu'il les entendaient dire que "ils ne pouvaient pas lui pardonner", il avait envie de leur hurler que c'était eux qui étaient impardonnable. Mais un trait avait été tiré sur eux, et dans sa haine il leur avait "maudit" la vie pour plusieurs années. Car pendant son calvaire, il osait en parler à ses ami et amies, et les rumeurs courent vite dans l'enceinte d'une école. A l'âge où les premiers amours se déclarent, ses deux "amis" se retrouvèrent seul, leur réputation d'ordure les ayant précédé. Voilà ce qu'il en coutait de s'en prendre à un innocent ! Mike en était si ravi que la joie submergea son corps.... et éveilla ses pouvoirs.

Il comprit instinctivement leur fonctionnement, comme si cela était marqué dans ses gènes. Il lui suffisait de penser à une chose qu'il cherchait, de fermer les yeux, et lorsqu'il les rouvrait, le monde s'était terni, devenant d'un bleu sombre. Seul l'objet de sa convoitise brillait d'une lueur rouge, à travers mur et terre, à travers le monde. Il voyait ce qu'il voulait voir, trouvait ce qu'il voulait trouver. Au début, l'ivresse de la puissance le poussa à abuser de sa force. Il voyait les réponses aux contrôles, il lui suffisait de "chercher" la réponse pour la voir en rouge s'afficher. Parfois ce n'était que de lettres éparses, parfois le mot entier écrit un peu plus loin. Il trouva aussi les amis les plus sincère, et une fille qui le rendrait heureux autant qu'il la rendrait heureuse. Son monde était parfait, et ce n'était pas près de changer.

Lorsqu'il sortit des études, il décida d'utiliser ses formidables dons de guitaristes pour monter un groupe de musique. Depuis toujours il avait continué à jouer de son instrument préféré et maintenant qu'il le pouvait il comptait bien vivre de sa passion. Il "chercha" les musiciens qui seraient à la fois performants et sympathique et au bout de quelques mois on entendit parler du nouveau groupe au violent nom de "Death of the Flesh Burned". Mike aimait le métal depuis l'âge de 12 ans et ne s'était jamais détourné de cette autre passion. Il maitrisait sur le bout des doigts nombre de morceau mythique de groupe légendaire. Quatre mois plus tard il finit d'enregistrer son premier album, "The scream of the tortured soul". Mélangeant des riffs lourd de Death Metal et des passages plus mélodique, il fit fureur et s'écoula à pas moins de quatre millions d'exemplaire en moins d'un mois. Une série de concert dans toute l'Europe fut annoncée, et à peine les places furent mise en vente qu'elles furent arrachées par les fans. Trois heures plus tard, tout était écoulé pour le plus grand plaisir de ce groupe qui allait enfin pouvoir sentir le frisson du concert.

24 août 2004

Stade de France

Les effets pyrotechniques sont en place. Le groupe finit tout juste de répéter pour la dixième fois le concert. Tout est près. Mike salue le bassiste, Dave Lars, un Hollandais, alors que Michael Hammon, un Américain, installe sa batterie sur la scène à la force de ses bras musclés. Le claviste, Matthew James, vérifie machinalement les paramètres de son clavier électronique. Une foule de mécaniciens et autre assistants se presse autour d'eux, leur donnant un coup de main, lavant la scène une dernière fois, apportant les dernières modifications aux différents dispositifs. Mike s'approche de sa BC rick modèle Warlock et effleure une des cordes dans un geste presque sacré.
Spoiler:
. Il vérifie que ses ampli de modèle Marshall JMP1 et Carvin 400 Watts marchent bien, puis il regarde autour de lui. C'est la première fois qu'il monte sur scène. Il entend déjà le tumulte du public à quelques dizaines de mètre de lui. Il entend des clameurs, des personne scandant le nom des musiciens. Un sourire se peint derrière son masque au teint diabolique. Il s'éclaircit la voie, car il sait que tenir plus d'une heure en Death Growl requiert beaucoup d'entraînement. Chanteur et guitariste du groupe, il sait que son rôle est un des plus important, et que la moindre erreur n'est pas permise. Il regarde sa montre. Dans cinq minute, il devra aller sur scène. Et dans dix minutes, le rideau tombe, le concert commence. Il tourne, vire, angoissé. Le temps semble être au ralenti. Il s'assoit, se lève, va donner un coup de main à Michael qui a perdu une baguette. On leur fais soudain signe d'aller sur scène. Son cœur bondit alors qu'il s'empare de sa guitare d'une main, ses amplis étant amenés sur scène par des techniciens. Il voit sa place, avec le micro pointé vers sa bouche. Il sait que cette soirée va restée gravée en lui pour les années à venir. Reste à ne pas la rater...

https://www.youtube.com/watch?v=y61PqtIFSv0

Il commence à prendre en main sa guitare et, au signe du directeur technique, il commence les quelques notes du débuts de if you want peace...prepare for war. Un riff basique, mais lourd, accompagné de la grosse caisse de la batterie et des notes les plus graves de la basse. Une formidable clameur s'élève alors. Le public sait qu'ils sont la, il est impatient. Des cris, des sifflements. Toujours le même air en boucle. Un sourire nerveux fend la bouche de Mike. Il finit sa boucle musicale au moment pile où le rideau tombe, et commence le solo mémorable du début. La batterie fait vibrer la scène sous la puissance des toms, la basse résonne lourdement dans l'air. Soudain, il appui sur la pédale de son, et son riff auparavant étouffé s'élève dans les airs, jaillit des enceintes, frappe la foule. Ses doigts dansent sur la guitare, la musique prend vie sous ses doigts, il la façonne. Puis, il bloque les cordes, laissant la basse faire monter le tempo. Roulement sourd. De nouveau à lui de jouer, il baisse la tête et commence à la secouer de haut en bas. Ses cheveux tombent devant son visage, il s'en moque, trop concentré dans son morceau.

Puis le moment de chanter arrive. Il relève la tête et commence le début de la chanson, sa voix gutturale brûlant de l'ardeur du son.

♫Pain ain't even really what you want to be
Five feet under seeing your humanity
The opportunity to devide
The opportunity of being apart!♪

Et de nouveau un riff. Il secoue encore la tête, galvanisé par la foule, par le son aigu du clavier. Et dans un hurlement bestial il continue la chanson. Le premier concert est une réussite !

Après ce concert, Mike continua ses tournées en Europe, et rajouta même deux dates encore une fois combles très rapidement. Il est à présent en pause, mais la rumeur d'un nouvel album commence à envahir la communauté métalleuse. Mais quand ? Seul the Death of Flesh Burned le sait exactement.../size]

The Rage of the Death of the Flesh Burned [UC] 100714104429795494


The Rage of the Death of the Flesh Burned [UC] 862003sbsgdsf
© By (le nom de l'auteur de l'image)
▬ Prénom/Pseudo ; Pas tes affaires
▬ Où avez vous connu le Forum ; Je suis un des membres du forum
▬ Première Impression ; Bonne bien sur
▬ Raisons de l'inscription ; J'aime bien
▬ Présence sur le forum ; 5 à 6 sur 7
▬ Double compte ; Oui [ X ] // Non [ _ ] (Devinez de qui Wink )


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The Rage of the Death of the Flesh Burned [UC]
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